Des dispositifs avantageux autour de l’utilisation des voitures électriques

Pour promouvoir l’utilisation des voitures électriques dans les grandes villes, les autorités de nombreux pays ont mis sur pied plusieurs dispositifs. Il existe parmi eux, les dispositifs qui facilitent la délivrance des permis de conduire. Ils offrent parfois la possibilité de passer un stage permis en formation de courte durée. À côté de cette mesure incitative à l’emploi des automobiles électriques, les pouvoirs publics mettent également des primes à la disposition des conducteurs de ce type de véhicules. Parmi les plus réputées, se retrouvent notamment la prime à la conversion et le bonus écologique.
Le bonus écologique est une récompense d’état accordé à ceux qui se tournent vers l’usage des voitures électriques. À côté de ce bonus, vous retrouverez également la prime à la conversion. Elle est remise aux citoyens qui virent vers l’achat ou la location d’un véhicule électrique au détriment du thermique. Cependant, il s’agit de droits dont vous ne pouvez bénéficier que sous certaines conditions.

Les voitures électriques efficaces pour limiter la pollution atmosphérique

Avec le concept des ZFE ou des encore ZFE-m, plusieurs grandes villes du monde ont à cœur de limiter l’empreinte carbone du secteur routier. Ce domaine est en effet responsable à lui seul de près de 60,7 % du volume de CO2 émis dans l’atmosphère. Ceci représente des millions de tonnes de gaz carbonique.
Alors, pour préserver et veiller à la qualité de l’air dans les milieux urbains, les autorités des grandes cités urbaines valorisent de plus en plus les automobiles électriques. Plus respectueux de l’environnement que les voitures thermiques, les véhicules électriques offrent plusieurs points écologiques positifs. Ils permettent de créer progressivement un environnement plus propice à la santé et à la vie.

Les voitures électriques sont très économiques

Les voitures électriques présentent l’atout particulier d’être économiques. En réalité, à long terme, les modèles d’automobiles électriques sont plus bénéfiques. Ceux-ci disposent d’une autonomie de qualité qui permet d’avoir un bon rapport distance/coût. Ainsi, avec 2 € par exemple, un automobiliste réussit à parcourir plus de km en voiture électrique que thermique.
Même si leur prix d’achat à neuf peut parfois être très élevé, les véhicules électriques permettent à la longue de réaliser des économies non négligeables. D’autre part, dans les grandes villes, il est très facile de trouver des bornes de recharge. Devant les bâtiments publics, le long des autoroutes et autres, on en trouve un peu partout. Cela fait donc d’elles des moyens de déplacement très pratiques.

Les voitures électriques : une arme efficace pour réduire la pollution sonore en ville
En ville, à côté de la pollution atmosphérique, les populations souffrent aussi énormément des nuisances sonores. En effet, la pollution sonore causée par la circulation des automobiles figure parmi les fléaux qui affectent gravement les habitants des grandes métropoles. Sur ce point, les moteurs à carburant des voitures thermiques représentent les principales sources de bruits nocifs.
Contrairement à elles, les véhicules électriques produisent très peu de bruits sur les routes urbaines. En effet, la production acoustique de ces moyens de déplacement est très basse. De ce fait, certaines marques sont souvent contraintes d’intégrer des dispositifs sonores au cours de leur travail de construction. En réalité, totalement muette, une voiture en circulation représente un danger pour les piétons. L’objectif de ces équipements particuliers est donc de les rendre facilement perceptibles par des potentiels piétons distraits.

En résumé, le projet de véhicules électriques exclusifs dans les grandes villes est très salutaire pour le bien-être des populations. Celles-ci présentent de sérieux avantages écologiques et économiques.

Réduction des coûts de carburant

voiture hybride MG consomme beaucoup moins, voire pas du tout, de carburant. Cette caractéristique contribue à réduire les frais de fonctionnement. En effet, la technologie hybride est en quelque sorte un assistant du moteur thermique. À noter que la consommation moyenne d’une voiture hybride est de 5l au 100 contre 6.5l au 100 km pour un véhicule à moteur thermique.

Moins d’émission de gaz polluants

Les voitures hybrides roulent plus lentement que les modèles conventionnels, ce qui contribue à réduire la quantité de gaz à effet de serre qu’elles produisent. Cela est particulièrement utile dans les zones urbaines où les embouteillages sont fréquents, pouvant créer du smog en raison de l’accumulation de polluants atmosphériques. Par ailleurs, savez-vous qu’une émission de gaz plus faible implique une réduction de la taxe routière ? De ce fait, le fait d’opter pour une voiture hybride vous permet de réaliser encore plus d’économies.

Un couplage parfait

Les moteurs électriques et hybrides délivrent leur couple maximal de manière instantanée. Cela signifie que le moteur ne marque pas de temps d’attente pour qu’il puisse tourner. Cette caractéristique permet à un véhicule hybride d’avoir des performances similaires à une voiture ordinaire. De plus, avec une voiture hybride, il n’est plus nécessaire de brûler du carburant pour rester immobile. En effet, ce type de véhicule coupe automatiquement le moteur. La batterie dont elle est dotée maintient la radio et la climatisation en marche.

Des bénéfices fiscaux

Il est vrai que les technologies coûteuses des voitures hybrides influent sur leur prix. Il ne faut pas oublier qu’avant de rouler sur la route, ce type de voiture a besoin d’une carte grise. Les modèles hybrides sont généralement plus chers que les voitures conventionnelles. Mais la bonne nouvelle est que les coûts sont compensés par les incitations fiscales et les aides que le gouvernement a mis en place pour privilégier ce type de véhicule. Ce dernier est, en effet, respectueux de l’environnement à tous les niveaux.

Pourquoi réaliser une déclaration de cession de véhicule ?

Ce sont tous les anciens propriétaires qui ont vendu leur ancien véhicule, de quelques ordres que ce soient, qui doivent procéder à ce genre de démarche. C’est une manière notamment de légaliser le transfert de propriété. Un simple acte de vente et une carte grise barrée ne suffisent pas.
Mais en plus, il en va de votre sécurité. Le nouveau propriétaire peut en effet tarder à faire le transfert de propriété du véhicule en question auprès des autorités compétentes. S’il commet une infraction entre temps, vous risquez de devoir payer à sa place si vous ne vous lancez pas dans ce type de déclaration. Aussi, pour être déchargé de toutes responsabilités concernant ledit véhicule à l’avenir, vous ne devez pas rechigner à en passer par là.
D’ailleurs, c’est d’autant plus le cas que désormais, les démarches pour la déclaration de cession de véhicule se font simplement et rapidement en ligne.

Déclaration de cession de véhicule : les subtilités à connaitre

Le transfert de propriété d’une voiture d’occasion doit se faire dans les 15 jours qui suivent la vente. C’est une démarche imposée par la loi en France si l’on en croit l’article R322-4 du Code de la route.
Il y a un formulaire à remplir pour ce faire. Quelques informations concernant le véhicule vous seront notamment demandées. On peut citer entre autres le numéro d’immatriculation, le numéro de série du véhicule, la marque, le type et les caractéristiques, le nombre de kilomètres, etc. Vous devez également décliner votre identité : nom et prénom, adresse, la date et l’heure ainsi que les conditions de la vente, etc.
Le formulaire seul ne suffit pas pour réaliser la déclaration de cession de véhicule d’occasion. Vous devez également apporter quelques justificatifs à votre demande afin de s’assurer de la véracité des faits que vous formulez. Tel est le cas de la photocopie du certificat d’immatriculation, une copie de l’acte de vente, etc.

La préfecture ne peut plus rien pour vous

Auparavant, la préfecture était notamment habilitée à recevoir et à traiter ce genre de demande. Mais ce n’est plus le cas de nos jours. Dans l’objectif de désengorger les bureaux administratifs, la majorité des démarches de ce genre ont été digitalisées.
Pour le changement d’immatriculation ou de propriétaire d’une voiture d’occasion comme pour la déclaration de cession de véhicule, vous devez donc désormais procéder en ligne. En passant par ce service de déclaration de cession, la démarche peut prendre entre 24 et 48 heures, voire un peu plus.

Une déclaration de cession de véhicule auprès de l’ANTS

ANTS ou l’Agence National des Titres Sécurisés est notamment à même de recueillir votre demande. C’est une infrastructure qui s’occupe notamment de l’immatriculation et des permis de conduire en France. Elle est donc tout à fait habilitée à enregistrer une déclaration de cession de véhicule.
Il n’est pas nécessaire de vous déplacer pour ce faire. Cette agence dispose d’un site sur lequel vous pouvez effectuer en quelques clics votre déclaration. Il vous suffit de télécharger, de remplir, de re-numériser votre formulaire cerfa 15776*01 et d’envoyer tous les justificatifs.
À noter que vous lancer dans une telle démarche n’exempte pas pour autant l’acquéreur de faire la mutation du véhicule par la suite. Cela reste obligatoire. Toutefois, cette étape peut lui faciliter les choses. Une fois votre dossier reçu par l’ANTS, vous devez communiquer le code de cession à votre acheteur afin de l’aider dans ces futures démarches.

S’adresser à des sites spécialisés

C’est la première fois que vous vous lancez dans la vente de véhicule d’occasion ? Vous vous y perdrez dans les méandres des rouages administratifs ? Vous pouvez vous faire aider par des sites spécialisés. Bien évidemment, en échange de leur accompagnement, ces sites vous demanderont quelques euros de commission, et ce, en plus des frais d’enregistrement de votre demande.
Faire appel à des agences spécialisées digitales vous facilite les démarches. Les différentes étapes sont claires. Aussi bien le formulaire que les justificatifs sont à envoyer en ligne. Les systèmes de paiement sont sécurisés. Sur les sites, vous aurez d’ores et déjà une liste complète et transparente de tous les justificatifs que vous devrez fournir pour la réalisation de votre déclaration.
Par ailleurs, certains prestataires brillent par leur rapidité dans le traitement et la prise en charge du dossier. Ce qui vous permettra de passer à autre chose rapidement. En 24 heures en moyenne, toutes les vérifications seront faites et votre demande sera entérinée. Vous aurez un accusé d’enregistrement de votre demande avec le code de cession que vous pourrez faire parvenir à votre acheteur par la suite. Attention, les dossiers incomplets ne seront pas pris en compte.
Ce genre de prestation se démocratise de plus en plus depuis quelque temps. Mais il n’en reste pas moins que la qualité des prestations ne sera pas la même d’une plateforme à une autre. Faites quelques recherches avant de choisir votre partenaire pour éviter d’être déçu ou d’être stressé davantage dans la réalisation de votre déclaration de cession.

Profiter d’une bonne voiture à un prix réduit

L’achat d’une voiture neuve n’est pas donné à tout le monde. Choisir une voiture d’occasion permet de faire des économies allant jusqu’à 40 % moins cher du prix d’une voiture neuve. Les prix proposés pour les véhicules d’occasion sont réellement attractifs pour les consommateurs. Ils profitent d’un véhicule qui roule parfaitement bien et qui ne demande pas de révision.
L’accessibilité du prix d’une automobile de seconde main est le premier avantage qui augmente sa cote sur le marché. Mais en plus de cela, les acheteurs profitent également d’un moyen de transport avec une décote presque similaire d’une voiture neuve. La décote d’un véhicule neuf atteint les – 20 % dès sa première mise en circulation. Au bout de 3 ans de circulation, il peut atteindre -50%.

Profiter d’une grande pléthore de choix

À cause de la décote d’une voiture neuve qui se perd facilement, les adeptes des véhicules neufs cèdent souvent leurs biens avant qu’ils ne perdent de valeur. De ce fait, il est possible de trouver une multitude de modèles presque neuf sur le marché.
Le marché propose une multitude de marques et de modèles en fonction de votre recherche. Même si les voitures utilitaires sont les plus nombreux, vous pouvez trouver des véhicules de type berline, pick-up, SUV, et même des camions sur le marché de voiture d’occasion. Si vous voulez faire une bonne affaire, choisissez les voitures d’occasion des entreprises. Ils ont moins servi que les voitures des particuliers.

Les meilleures marques de voitures familiales

Pour votre famille et pour assurer la sécurité et le confort de chacun, vous devriez miser sur une voiture familiale fiable. Heureusement, ce n’est pas ce qui manque. Selon les professionnels de l’automobile, l’une des voitures familiales les plus sûres, c’est la Toyota Rav 4, très pratique et très puissante mais aussi à prix raisonnable. Les modèles familiaux de certaines marques méritent aussi votre attention, notamment ceux de Renault, Peugeot, Nissan ou Fiat. Ce qui est le plus intéressant dans ces modèles, c’est que leurs prix sont tout à fait abordables, au vu de leur capacité d’accueil, leur puissance et leurs qualités.

Quelques exemples de prix des voitures familiales

Comme vous pouvez vous y attendre, les prix varient d’une marque à une autre et d’un modèle à un autre et cela, que ce soit pour les voitures familiales d’occasion ou neuves. Naturellement, si vous avez un budget serré, il vaut mieux se tourner vers une voiture d’occasion en bon état. Les prix sont avantageux, comptez entre 15 000 et 29 000 euros. C’est le cas de la Volkswagen Golf, de taille moyenne certes mais parfaite pour une famille de 4 et qui coûte dans les 19 000 euros. Elle n’est pas récente mais elle est de qualité. La Nissan Qashqai est plus moderne mais elle ne coûte que dans les 23 000 euros. La Nissan Rogue, elle, coûte un peu moins de 25 000 euros.

Ce que la réglementation dit sur la plaque d’immatriculation

Aussi banale que puisse paraître la question de la plaque d’immatriculation, ne pas suivre la réglementation sur ce sujet peut vous entraîner des problèmes graves. Il est donc très important d’être au courant des règles en vigueur. Si vous avez une vieille voiture, peut-être vous demandez-vous si vous pouvez garder sa plaque noire. Ou bien aimeriez-vous savoir si vous avez le droit de rouler avec une plaque modifiée, si vous pouvez ajouter des stickers fantaisie ou des stickers régionaux sur votre plaque ? Mais vous êtes probablement plus intéressé par les sanctions que l’on encourt en l’absence ou en cas de non-conformité de la plaque d’immatriculation.

Selon la loi, vous n’avez pas le droit d’avoir une plaque illisible, c’est-à-dire que les chiffres et les inscriptions sont tellement usés qu’il est impossible de les déchiffrer. Même si votre plaque d’immatriculation est illisible pour la simple raison qu’elle est sale (alors qu’un seul coup de chiffon règle la situation), vous ne pouvez pas la laisser telle quelle lorsque vous partez sur les routes. En effet, vous risquez une amende de 135 euros.

Selon la réglementation également, circuler sans plaque d’immatriculation est formellement interdit. Vous risquez de payer une amende de 135 euros.

Si votre plaque d’immatriculation est non conforme aux consignes prévues par la loi, vous vous mettez en infraction. Vous devez donc, coûte que coûte et dans les meilleurs délais, faire le nécessaire pour conformer votre plaque à la réglementation.

Ce qu’est une plaque d’immatriculation conforme

Les plaques d’immatriculation, que vous pouvez commander sur https://www.plaqueimmatriculation.com, doivent répondre à un certain nombre de règles bien établies. La première règle porte sur le format de la plaque. Bien que tous les véhicules motorisés doivent posséder une plaque d’immatriculation, le format pour les voitures diffère de celui des deux-roues. Cela veut dire qu’il est contraire à la loi de mettre une plaque d’immatriculation de voiture sur une moto ou celle d’une moto sur une voiture, même juste pour un seul jour, voire une seule sortie. Une plaque d’immatriculation conforme doit être au format adapté.

Les autres règles de conformité concernent le lettrage, la couleur et la taille des caractères. Tout cela signifie qu’on risque gros en optant pour un lettrage fantaisiste, des couleurs non autorisées et des caractères non réglementaires. Ne pas suivre la loi sur ces points peut vous faire recaler au prochain contrôle technique.

Maintenant, que dit la loi sur votre ancienne voiture ?

Les véhicules de collection (autrement dit les voitures qui ont plus de 30 ans) peuvent continuer à rouler avec leurs plaques noires. Bref, si vous possédez encore une carte grise collection, vous avez tout à fait le droit de circuler avec la plaque de l’époque de la commercialisation de votre véhicule. Mais pour être sûr d’être conforme à la loi, assurez-vous que votre voiture est bien immatriculée en collection. Dans le cas contraire, la question de la plaque doit être revue, c’est-à-dire que vous devriez faire une plaque standard pour votre véhicule.

Fausse plaque et usurpation de plaque

Peut-être que vous avez fait refaire votre plaque parce que l’ancienne était trop abîmée, presque illisible. C’est une bonne chose et il faut le faire le plus rapidement possible. Mais faites attention, tant que votre nouvelle plaque n’est pas prête, interdiction formelle de vous servir de votre véhicule. Ne vous dites pas qu’une petite entorse à la loi ne peut pas vous faire du tort, et vous allez mettre une vieille plaque sur votre véhicule en attendant. Ne soyez pas tenté par une telle action, car en agissant ainsi, vous ne risquez pas seulement une amende (pouvant d’ailleurs atteindre les 3?750 euros), mais vous commettez aussi un délit. Cela veut dire que vous encourez une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans. De plus, vous risquez une suspension de permis pour 3 ans, en tout cas un retrait de 6 points sur celui-ci. Pour ne rien arranger, il y a de fortes chances qu’on vous confisquera votre véhicule, et ce, de façon définitive. Aussi, tant que vous n’avez pas entre les mains votre nouvelle plaque, tant que vous ne l’avez pas apposée correctement et visiblement sur votre véhicule, prenez un autre moyen de transport pour vous déplacer.

Parlons à présent de l’usurpation de plaque. C’est un crime encore plus grave qu’une fausse plaque d’immatriculation. Les sanctions consistent en 7 ans de prison et 30?000 euros d’amende, une annulation pure et simple du permis de conduire et un retrait de 6 points dessus. Certainement, il y a aussi la confiscation définitive du véhicule.

Les lettres sur une plaque d’immatriculation

Pour le bon fonctionnement du système minéralogique sur le territoire français, des règles précises ont été mises en place pour les plaques d’immatriculation. Pour rappel, sachez qu’une plaque neuve doit se présenter sous la forme suivante : AA-456-BB. Il faut donc deux lettres, puis un tiret, 3 chiffres, puis un tiret et deux autres lettres. L’attribution de votre numéro de plaque d’immatriculation se fait de manière tout à fait informatisée et automatique. Cela veut dire que vous ne pouvez pas choisir le numéro qui vous plaît (des lettres qui vous portent chance ou des chiffres porte-bonheur). Vous devez accepter le numéro qu’on vous donne et vous ne pouvez rien y faire. L’informatisation de cette attribution permet aux autorités et aux services préfectoraux de disposer des informations utiles sur les véhicules qui circulent dans toute la France.

Parce qu’un système informatisé n’est pas complètement infaillible, il y a certaines lettres qui ont été bannies des plaques d’immatriculation, en l’occurrence les lettres I, O et U. Ces voyelles ne sont donc pas autorisées sur les plaques. Ceci a été établi pour qu’il n’y ait pas de confusion. En effet, le système SIV pourrait par exemple confondre la lettre I avec le chiffre 1 et la lettre O avec le chiffre 0 ou encore la lettre U avec la lettre V. Puisqu’il y a trop de ressemblances entre ces voyelles et ces autres signes, l’administration a décidé de les interdire sur les plaques d’immatriculation. Enfin, les deux lettres SS sont également proscrites des plaques parce qu’elles rappellent douloureusement le régime d’Adolph Hitler.

Pourquoi acheter des voitures de collection  ?

La vente de voitures de collection ne cesse de s’accroître ces dernières années. Elles sont, en effet, devenues très prisées, notamment par les passionnés de véhicules anciens. Ces derniers ont un design hallucinant, irréprochable et original. Avec leur intérieur en cuir, ces voitures ont de quoi attiser la curiosité des amateurs. Ceux-ci prennent un énorme plaisir de rouler à l’intérieur d’une jolie voiture de collection. Ils ne s’en servent que rarement, surtout pour préserver sa beauté. Son prix varie plutôt en fonction du modèle choisi et de son année de création. Un tel véhicule est généralement disponible durant les ventes aux enchères ou dans un dépôt de vente.

Acheter une voiture de collection est une occasion pour vivre une sensation exceptionnelle sur la route. Son propriétaire doit lui offrir de l’attention en la bichonnant et en la gardant en bon état. Il est également préférable d’être membre d’une association de collectionneurs. De ce fait, l’individu pourra participer à de nombreuses manifestations, comme les salons ou les rallyes. Il a aussi la chance d’exposer son véhicule durant les concours de prestige. Cependant, pour y arriver, il faut être titulaire d’un certificat d’immatriculation pour les voitures anciennes.

Pourquoi souscrire une assurance de collection ?

Une voiture de collection est une voiture âgée de plus de 30 ans et doit faire l’objet d’une visite tous les 5 ans. Il faut aussi qu’elle dispose d’une carte grise spécifique délivrée par la Fédération française des Véhicules d’Époque. Le passionné doit fournir des pièces justificatives pour en bénéficier. Souscrire une assurance de collection est une étape obligatoire pour le propriétaire. Dans le cas contraire, il peut être sanctionné par la loi et contraint de payer une amende de 3750 euros. Les autorités peuvent suspendre son permis de conduire, voire confisquer l’engin.

Étant donné que le titulaire du véhicule ancien le bichonne bien, celui-ci reste dans un bon état. Il en prend soin en conduisant prudemment afin de limiter les risques d’accident. Toutes ces raisons expliquent pourquoi la prime d’assurance est réduite. Les assureurs proposent plusieurs formules aux assurés en fonction de leurs préférences. À part couvrir tous les risques, il existe d’autres options comme la protection juridique ou l’assistance 0 km. Certaines personnes optent également pour l’assurance Accessoires et celle relative à la protection du conducteur. Il faut avouer que les offres et les tarifs sont très variés afin de répondre aux besoins de chacun. Les assureurs conseillent leurs clients afin de les aider à faire le bon choix. Avant de prendre toute décision, il est impératif de demander des devis auprès de plusieurs prestataires pour faire le bon choix.

Qu’est-ce que la TVS ?

Cette taxe concerne toutes les sociétés à but lucratif quel que soit son mode d’imposition. Les personnes morales n’agissant pas à but lucratif et ne disposant pas d’un statut de société ne sont pas soumises à la TVS? Il s’agit par exemple des associations sportives. Pour les établissements non soumis à l’impôt sur les sociétés, la TVS est déductible du résultat de l’entreprise pour l’IS.
Les véhicules concernés par la TVS sont ceux qui sont destinés au transport de personnes, peu importe qu’ils soient utilisés à des fins professionnelles ou non. De ce fait, les véhicules immatriculés comme voiture particulière, les véhicules avec au moins 5 places assises et disposant du Code européen de carrosserie « camion pick-up » et ceux immatriculés dans la catégorie N1 sont soumis à la TVS. Toutefois, les voitures à usages industriels et commerciaux ne sont pas soumises à la TVS.

Déclaration et paiement de la TVS

La période d’imposition de la TVS s’étale sur toute l’année, soit du 1er janvier au 31 décembre. Cependant, les procédures à suivre pour déclarer et payer la TVS dépendent du régime d’imposition à la TVA de l’entreprise. Qu’elle soit assujettie ou non à la TVA, l’établissement doit déclarer et payer en ligne la TVS sur l’annexe n° 3310 A. Si l’entreprise est en revanche soumise à un régime simplifié d’imposition, elle doit déclarer et payer la TVS sur le formulaire papier n° 2855 —SD. Le paiement se fait dans ce cas par virement, chèque ou espèce. Il est aussi possible de payer la TVS avec une créance liée à un impôt reçu par le Service des impôts des entreprises.

Montant de la TVS

La TVS est calculée en fonction du nombre de véhicules possédés ou utilisés à partir du 1er jour de chaque trimestre civil par la société. Les voitures prises en location pour plus de 30 jours au cours de chaque trimestre sont aussi comprises dans le calcul. Deux composantes principales sont prises en compte lors du calcul. La première repose soit sur le taux d’émissions de CO2 du véhicule, soit sur la puissance fiscale en fonction de la date de mise en circulation du véhicule. La deuxième repose uniquement sur les émissions polluantes de véhicule qui dépend en partie du type de carburant utilisé. Pour le taux d’émission de CO2, le tarif minimal est de 0 euro pour une émission de 20 g/km. Le tarif maximal est de 29 euros pour une émission dépassant 250 g/km. Pour la puissance fiscale, le tarif est de 750 euros pour 3 chevaux-vapeur ou moins et 4 500 euros à partir de 16 chevaux-vapeur. Quant aux émissions polluantes, le tarif pour les véhicules roulant à l’essence mis en circulation avant le 31 décembre 2000 est de 70 euros contre 20 euros pour les véhicules mis en circulation à partir de 2015. Pour les voitures roulant au diesel, les tarifs sont plus élevés.

La question du budget

La première question qui se pose avant d’acheter une première voiture c’est le budget qui sera consacré à l’acquisition. Idéalement, sauf si le jeune conducteur est issu d’une famille aisée, il n’est pas recommandé de s’offrir une voiture de prestige. L’acquisition doit être murement réfléchie étant donné que l’achat d’une première voiture est un assez grand investissement et que le risque d’accrochage peut encore être assez élevé. Calez votre budget à 5 000 euros tout au plus dans ce cas. C’est-à-dire qu’il sera préférable d’acheter une voiture d’occasion. Pour un jeune qui n’a pas encore de travail fixe, une voiture d’occasion à environ 2 000 euros sera même appropriée. Cela peut vous permettre d’acquérir une voiture affichant environ 100 000 km au compteur.

Où acheter la voiture ?

Comme c’est une voiture d’occasion qu’il vous est conseillé, vous pouvez vous rendre chez un concessionnaire pour en dégoter. Cependant, généralement, les offres dans ces enseignes sont assez chères étant donné qu’on n’y trouve que rarement des voitures à 100 000 km et plus. Mais vous aurez un véhicule bien entretenu, sous garantie, et moins cher qu’un neuf. La meilleure option serait d’en chercher sur le net, sur les plateformes de vente de voitures d’occasion entre particuliers. Les offres sont larges sur ces sites et les prix variés. Il faut juste faire attention à bien vérifier le véhicule avant de signer l’acte de vente.

Quel modèle choisir ?

Afin d’y répondre, il faut d’abord se demander si vous voulez un moteur à essence ou au gas-oil. Un moteur diesel est plus puissant et consomme moins qu’un moteur à essence. Cependant, il faudra bien l’entretenir. En cas de pépin, il est plus cher à réparer. Une voiture essence pollue moins et est plus adaptée à des jeunes conducteurs optant pour des petites citadines. Pour ce qui est du modèle proprement dit, cela va dépendre de vos besoins. Si vous êtes un étudiant, une citadine sera parfaite. Pour les mères de famille, il vaut mieux choisir un break familial ou un SUV.

La taille et les indices des pneus

Choisir ses pneus peut se révéler difficile face à l’immensité de l’offre. Le premier critère de choix à considérer est la taille de vos pneus. Un véhicule est compatible à une taille de pneu qui lui est propre. Les dimensions d’un pneu se trouvent sur son flanc. Par exemple, 225/60 R17 99H signifie que 225 est la largeur de vos gommes en mm, 60 est le ratio entre la hauteur des pneus sans les jantes sur sa largeur, R17 indique le diamètre des jantes en pouce, 99 est l’indice de charge des pneus et H l’indice de vitesse. Ne pas avoir la taille de pneus adaptée est passible d’une sanction lors de la contre-visite. La taille des pneus a une influence sur la vitesse de votre voiture.

Le type de pneus selon la saison

Il est important de choisir le bon type de pneu. Il en existe trois dont le pneu été, le pneu hiver et le pneu 4 saisons. Le pneu été vous permet de rouler n’importe où à condition que la température du sol ne descende pas en dessous de 7°C. En dessous de ce seuil, les gommes durcissent et ont du mal à adhérer au sol. Ce type de pneu est considéré comme le pneu standard.
Les pneus hiver conviennent mieux si vous avez l’intention de vous rendre dans une zone géographiquement froide. Ils vous permettront de mieux conduire sur le sol mouillé, verglacé ou enneigé.
Pour faire des économies et éviter de changer de pneu à chaque fois, optez pour les pneus 4 saisons. Ce type de pneu est le compromis entre le pneu hiver et le pneu été.
Si vous possédez un de ces véhicules n’ayant pas de roue de secours, il vous faut des pneus RunFlat ou Pax ou encore des pneus anti-crevaison.

La marque des pneus

Enfin, vous pouvez choisir vos pneus de voiture en fonction de la marque. Le choix de la marque de vos pneus n’est pas lié à celle de votre voiture. La seule condition est de choisir des pneus de qualité, de la bonne taille et du type adapté à vos besoins et à votre véhicule.